Enseignements

La formation représente 192 heures d’enseignement auxquelles s’ajoutent des conférences animées par des personnalités extérieures destinées à  assurer une connaissance plus large et plus approfondie des droits africains ainsi que des cultures et réalités africaines.

Pendant l’année universitaire, les étudiants devront en outre, soit rédiger un mémoire de recherche, soit effectuer un stage à l’issue duquel ils devront rendre et soutenir un rapport relatant et analysant le travail accompli. Attention, la date du choix est le premier décembre, en sorte que les étudiants n'ayant pas de stage à cette date feront un mémoire pour la validation de leur master, ce qui n'exclut pas que la direction signe une convention pour un stage en lien avec les droits africains. L'étudiant pourra ainsi bénéficier d'un stage même si celui-ci n'est pas validé dans le cadre du master. La recherche d'un stage doit par conséquent se faire au plus tôt, avant même, idéalement, le début de l'année universitaire.

En fin d’année se tient le « Grand jury africaniste », grand oral permettant de mesurer la culture générale des étudiants concernant les Afriques.

Le master est donc exigeant et requiert beaucoup de travail personnel en sus de l'assiduité aux enseignements. Il est pour cette raison très difficilement compatible sinon incompatible avec l'exercice d'un travail en parallèle. L'expérience révèle en effet la très grande difficulté des étudiants qui essaient de mener travail et formation simultanément.